MALLEPHYR RUINS OF INNER COMPOSURE 2024 EPICTURAL PRODUCTION BLACK/DEATH METAL C'est de République Tchèque que nous revient l'ouragan Mallephyr pour un troisième opus de black/death metal violent, noir et complexe. Un album qui va nous accompagner dans les prochains mois. Bigre ! Je l'avoue, je ne connaissais pas Mallephyr avant de recevoir cet album...Mais quelle tornade ! Un tourbillon de riffs dissonants subtilement mêlés à des coups de scalpels death metal, pour un rendu à la fois brutal, avec une atmosphère haineuse et noire et des titres longs et complexes, aux riffs originaux et acérés. Le chant versatile d'Opat - également guitariste - évoque tous les démons du sud du paradis et s morgue haineuse nous atteint immédiatement. Le grand intérêt de cet album réside dans la qualité des musiciens, réellement impressionnants, et le soin apporté aux ambiances, parfois glaciales, psychiatriques ou guerrières. On y entend autant la souffrance qu'un côté vindicatif,
Ni Dieu Ni Diable : Interview avec Furfur (Black Metal)
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Interview avec Furfur
Berith (vocals and all instruments)
La bête Furfur a beau être un des démons du Pandemonium, notre interlocuteur n'en n'a cure, puisque Berith, qui se terre derrière ce nom, rejette toutes les religions, sans adhérer au satanisme ou à autre chose. Nihiliste Furfur ? Faut voir...En tous cas, le Scribe est captivé par la musique de ce one-man band qui défraie la chronique et n'a pas fini de faire parler de lui...
Furfur est un one-man band mené par toi, Berith,
depuis 2017. Merci d’abord de répondre à mes questions. Tu as, à l’instar
d’autres one-man bands, sorti beaucoup de choses en très peu de temps, à
savoir : 4 démos, 2 singles, et deux albums en deux ans ! Mais où
trouves tu le temps ?
Salut, merci à toi pour ces questions qui
je l’espère, permettrons à ceux qui suivent et qui ne connaissent pas Furfur
d’en découvrir un peu plus sur ce projet. J’ai effectivement sorti pas mal de
trucs depuis mes débuts, et une nette amélioration musicale s’est faite.
Cependant la moitié sont des ébauches, par exemple la démo Abyss m’a permis de
concevoir l’EP « I am the Fog », la démo « Ce Foutu
Corbeau » de trouver ma voie vers l’album « Le Silence Après la
Mort » . Et je suis étudiant, donc le temps je le trouve à peu près tous
les jours ahah.
Peux-tu nous parler de la formation du projet et de
tes objectifs de départ avec Furfur ?
Furfur est né d’une envie de composer ce
que j’avais envie d’entendre, de l’efficacité, de la haine de la violence. Il a
fallut attendre l’album Thamuz avant d’arriver à un résultat qui me convenait
plus ou moins. Bon après je dis ça comme si c’était pro, mais c’est du fait
maison, aujourd’hui mon but c’est de partager mon message, à travers ma
musique, qui est bonne ou non c’est à vous de voir. Quand je compose j’ai
toujours des émotions qui me viennent, un riff me fait penser à quelque chose,
et j’écris les paroles autours parfois, l’inverse est aussi possible. Mon but
c’est avant tout de faire ce que j’ai envie, je n’ai pas envie de composer pour
composer et sortir un album qui n’a aucun but. Furfur se veut philosophique,
dans le sens où, c’est énormément de réflexion, qu’on ne peut pas spécialement
imaginer en lisant mes paroles. Moi elles me parlent et ça me convient, si vous
ne comprenez pas ou ne voyez pas les sous entendus, c’est soit que le morceau
est personnel soit que c’est plus complexe que ce qu’on peut penser au premier
abord. Désolé si j’ai un peu divagué...
Furfur est un démon du panthéon diabolique, faisant
partie de « l’aristocratie satanique ». Que symbolise-t-il pour toi
et pourquoi avoir choisi ce nom ?
Ce nom ne symbolise absolument rien,
l’histoire est toute bête et aujourd’hui je n’apprécie pas plus que ça ce nom,
mais je le garde. Au début, lors de mes premières démos, je partais plus dans
un esprit black metal classique qui parle de « satanisme » (entre
grosse guillemets). J’ai alors cherché les noms de démons et les dessins
associés, lorsque je suis tombé sur le dessin du Furfur, celui-ci me parlant
plutôt bien, j’ai décidé de nommer mon projet ainsi. Mais à ce moment-là je
comptais faire de la musique uniquement pour moi jusqu’à arriver à un niveau
suffisamment satisfaisant pour changer de nom. Mais je n’en ai jamais eu
l’occasion, aujourd’hui le nom Furfur ne représente plus le nom du démon pour
moi, mais uniquement ma philosophie.
Thamuz, ton
premier album, est sorti en 2017. Il commence par deux instrumentaux (avec
l’intro). Pourquoi ce choix ? Le chant arrive ensuite, extrêmement
réverbéré, un peu à la manière de Quorthon de Bathory dans The Return. Peux-tu
nous parler de cet album en particulier, nous dire ce que tu avais en tête en
le réalisant ?
Ah Thamuz… Avec cette intro si mauvaise
ahah ! Eh bien il n’y a pas de raison précise, 2017 était ma période
d’expérimentation avant d’arriver à mon propre style de musique, l’ordre des
pistes n’est pas spécialement choisi avec minutie (voire pas du tout). j’ai
juste pris soin de mettre l’interlude au milieu et c’est tout. Musicalement
c’était encore de l’expérimentation, les paroles étaient un peu fantaisistes et
parlaient plus ou moins de la nature, de lieux inventés. Une sorte d’exercice
de création autant musicale que visuelle. Pour ce qui est du chant, c’est vrai
qu’à ce moment je mettais pas mal de réverb’, ça donne ce côté mystique très
inspiré par Summoning. C’est un plus, ça donne ce côté inhumain, froid et
mystérieux. Donc voilà, un album modeste, qui quand je le réécoute aujourd’hui
me montre le chemin que j’ai parcouru, mais aussi les défauts qu’il pouvait y
avoir à l’époque dans ma musique. J’en suis quand même fier, mention spéciale à
Impaled by Ice qui est probablement ma piste préférée.
J’aime beaucoup le passage ou tu dis que Dieu est un
alcoolique, et que tu n’aimerais pas avoir sa gueule. Y’a-t-il un deuxième
degré dans certaines de tes chansons ?
Un deuxième degré ? Oui et non je
pense que chacun a son interprétation de chaque pistes, certains vont ressentir
les paroles différemment, il n’y a pas spécialement de sens juste, j’ai ma
signification pour mes morceaux mais libre à chacun d’interpréter le message
différemment du moment que le message initial n’est pas complètement déformé.
Enfin bref, dans ce morceau, je dis que je n’aimerais pas voir sa gueule (si
l’homme est à l’image de dieu). J’ai horreur des gens, de leur fausse
gentillesse, de leur hypocrisie, de leur mensonges etc. Sa gueule représente sa
pensée, si l’homme est l’image de dieu, il doit être sacrément stupide quand tu
en regardes certains. Après je ne suis pas comme ça « IRL », j’ai
plutôt tendance à beaucoup trop me creuser la tête, à être ouvert au dialogue.
Je ne vais pas aller brûler une église pour autant, c’est juste une pensée
profonde et intérieure.
Tu ne crois ni en Dieu ni à Diable. En quoi
crois-tu ?
Effectivement, je ne crois ni en dieu, mais
ce qui est aussi plutôt original pour une formation black metal, c’est que je
ne « worship » pas satan. Beaucoup de groupes en parle sans y croire
en se rangeant de son côté pour « faire peur » , mais bon je
crois que l’effet Satan ne fait plus peur à personne. Je n’y crois pas, je ne
crois en aucune forme de religion. Et finalement je ne crois pas en
grand-chose, religieux ou pas...
La batterie programmée sur ce premier album se
reconnait tout de suite. On dirait que tu n’as pas spécialement cherché à la
faire sonner comme une « vraie » batterie, est-ce volontaire ?
Et penses-tu faire appel à un vrai batteur un jour ?
Ah la batterie, le problème n°1 de Furfur.
Effectivement ça s’entend, je fais un peu avec ce que j’ai pour le moment.
Comme je le dis, Furfur a eu sa période d’expérimentation en 2017, maintenant
depuis «LSALM », c’est la période d’amélioration. J’ai investi dans un
logiciel de batterie, qui sonne déjà beaucoup mieux, tu peux l’entendre dans le
morceau « Ultra Violence » que j’ai sorti fin 2018 en guise de
single ! Pour la question du vrai batteur, je ne pense pas, du moins pas
maintenant, j’aime tout faire dans Furfur, j’ai pas très envie d’avoir une
influence extérieure sur mon travail. Le fait que ça sonne pas toujours comme
il faut, qu’il y ait des problèmes est, certes pas terrible, mais j’ai besoin
de ces problèmes pour faire mieux la fois d’après. Donc pour te répondre, non
je ne ferais pas appel à un batteur pour le moment, mis à part pour des
lives...
Ton deuxième LP, assez incroyable, que j’ai chroniqué
récemment s’intitule « le silence après la mort ». Tu y pousses
encore plus loin le minimalisme de ton Raw Necro Black Metal, avec cette voix
chuchotée si particulière qui donne une forte identité au projet. Qu’est ce qui
a changé entre le premier album et celui-là, qui est encore meilleur ?
Merci pour ces mots, je ne dirais pas que
cet album est minimaliste bien que je sois loin d’être un bon musicien et
encore plus loin d’être un virtuose. Bien que ça peut sonner simple, c’est
souvent pas mal de réflexion mélangé à de la spontanéité. Pareil pour le mot
« Raw », je ne considère pas ma musique comme raw car ce n’est pas
enregistré sur le tas, le son n’est pas excellent certes, mais ça a été mixé.
J’aime comparer ma musique avec Transilvanian Hunger, le son n’est pas spécialement
bon, mais on ne parle pas de cet album comme étant raw. Enfin bref je m’égare,
beaucoup de choses ont changé, les riffs ne sont plus pareil du tout mis à part
pour certaines pistes comme Misanthropie 4 par exemple. Le chant est moins
réverbéré, les paroles ont toutes un sens pour moi et parlent de quelque chose,
la batterie bien que pas terrible est meilleure en terme de paterne et les
structures des morceaux sont plus consistantes.
Quelles sont tes influences ? On pense bien sûr
aux empereurs du Raw Black, comme Mutiilation ou Darkthrone. Peux-tu nous en
dire plus ? D’ailleurs je crois savoir que tu es plutôt
« éclectique » dans l’extrême ?
Mes influences sont très nombreuses, c’est
ce qui doit faire une des forces de Furfur, cette identité propre au projet.
Alors je vais faire un peu de name-dropping, dans différents genres.
Black Metal : Ravensblood, Sale Freux,
Darkthrone, Mayhem, Burzum, Seigneur Voland, nombreux groupes des légions
noires, Belphegor, Behemoth (surtout pour la période Sventevith), Satanic
Warmaster, 1349, Windir, Carpathian Forest, Moonfrost…
Death Metal : Je suis fan de Death
Metal, et encore plus de Brutal Death Metal, bien que ce genre ne figure pas
dans Furfur, ça reste une de mes inspirations pour les morceaux les plus
violents : Deeds of Flesh, Cytotoxin, Death, The Dark Prison Massacre,
Dying Fetus, Massacra, Ingested…
Et puis je vais balancer d’autres noms de
d’autres genres en vrac, j’ai pas non plus envie de faire un dico
maintenant : Audrey Horne, Metallica, Iron Maiden (des classiques il en
faut), Hirax, Vader, Angelus Apatrida…
En somme beaucoup d’influences différentes
dans le « metal ».
Le single « Ultra Violence » est sorti fin
décembre 2018, et il est le prélude d’une nouvelle démo, qui s’appellera
« Réflexion Funèbre ». Le titre en question pousse encore plus loin
dans le Raw et le minimalisme macabre, que peux-tu nous dire sur la démo ?
Elle va t’exploser la gueule, ça va être
intellectuellement violent !
Tes prochains Projets ? Sorties ? Je sais
que tu as un split avec Black Holocaust ans les tuyaux. Peux-tu nous citer de
jeunes groupes dont tu te sentes proche ?
Un split avec Black Holocaust effectivement
prévu avant que Furfur n’existe… Sinon, j’ai pas spécialement grand-chose
de prévu après « Réflexion Funèbre », du moins rien de spécial à
annoncer. Pour les jeunes groupes, que j’ai découvert et avec qui pour certains
j’ai tissé des liens, il y en a quelques uns : Black Holocaust, Unseen
Abyss, Malementé, Amdusias, Nuit Macabre, et quelques groupes qui existent
depuis un peu plus longtemps comme Kaldt Helvete ou Totale Angoisse qui sont
des groupes avec qui j’ai un peu correspondu et qui me parlent beaucoup
musicalement.
Peux-tu nous établir un TOP 15 de tes albums
préférés, tous styles confondus, toutes époques confondues ?
Euh, ça va être dur de choisir je te
balance 15 albums de groupes différents mais sans ordre et en essayant de pas
oublier les plus importants :
1. Windir – Arntor
2. Burzum – Filosofem
3. Deeds of Flesh – Path of the Weakening
4. Cytotoxin – Radiophobia
5. Iron Maiden – Powerslave
6. Darkthrone – Panzerfaust
7. Sale Freux – Subteranneus
8. Peste Noire – L’ordure à l’état pur
9. Ravensblood – From Tumulus Dephts
10. Seigneur Voland – Seigneur Voland
11. Death - Symbolic
12. Summoning – Minas Morgul
13. Angelus Apatrida – The Call
14. Ingested – Surpassing the Boundaries of
Human Suffering
15. Marduk
– Panzer Division
Bon cette liste est à l’arrache et je peux
pas tout mettre du coup voilà juste des albums parmis tant d’autres qui sont
surement meilleurs que certains ici auxquels je n’ai pas pensé.
Si Furfur devait être un proverbe ?
J’en ai aucune idée, on va dire que le
simple mot « Furfur » est un proverbe à lui tout seul !
Espace libre : ici sens-toi libre de dire ce que
tu veux …
Eh bien écoute, merci pour ces questions,
j’espère ne pas être trop parti dans les mauvaises directions, et j’espère
aussi ne pas m’être contredis ahah. Je n’ai pas grand-chose à dire de plus, je
veux juste lâcher un petit pic à un groupe que je déteste énormément :
Je livre ici un entretien que j'ai eu récemment avec Famine, de Peste Noire, depuis son nouveau bastion de Kiev, en Ukraine. Ainsi merci de prendre en compte le fait qu'il s'agit d'une interview exclusive, qui porte sur l'oeuvre que Famine nous donne à entendre et à voir depuis plus de quinze ans. HAILS ! UNITE ! Le Scribe du Rock INTERVIEW AVEC FAMINE DE KPN DEPUIS KIEV Salut Famine, et merci de bien vouloir répondre à mes questions. Peux-tu revenir pour nous sur les fondations de Peste Noire ? En 2000 vous vous formez en Avignon (ma ville ! NdA) sous le nom de Dor Daedeloth (en référence à Tolkien) et vous sortez la démo « Aryan Supremacy ». Peux-tu narrer la création de cette première formation et les objectifs qui étaient les vôtres ? Vos influences musicales et thématiques ? Le nom Dor Daedeloth a dû être adopté une semaine, la démo est sortie sous le nom Peste Noire, donc on peut considérer que Dor Daedeloth n’a jamais existé. Mes influe
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