IDOLOS Ajchikaj 2023 Acid Vicious/Percussive Spectre/Orejona Production Scifi Atmopheric Post-Black Metal Sortie Physique le 18 Mai Les vénusiens du post-black metal sont de retour pour un troisième EP qui conclue, logiquement, une première trilogie. Après "Ahi Cab" et "Naa" (tous les deux chroniqués dans le Scribe, voir les liens en bas de page, en plus de ceux de l'interview avec MgRcH et NnK ). Alors bilan des courses pour cette fin de première étape ? Nos amis extraterrestres, en lien télépathique avec les mayas, s'éloignent ici encore un peu plus du black metal, ce qui semble logique puisque cet éloignement était déjà opérant sur le deuxième EP Naa. Ici ce sont donc les atmosphères qui prédominent, et pas une agressivité musicale, ni même une noirceur particulière. Le groupe creuse encore un peu plus sa singularité et divisera encore plus les amateurs de "trve" et ceux ouverts à d'autres possibilités, plus expérimentales, au sein desque
Interview LOTAN - Black Metal Mélodique du Danemark - Le Scribe Du Rock / Metallian - Mars 2023
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Cette interview aurait du logiquement paraître dans le prochain Metallian. Par manque de place dans le menu copieux du prochain numéro, la voici dans le Scribe...
LOTAN
Rien
n'est sacré
Lotan
fait partie d'une nouvelle vague de groupes de black metal qui
n'hésitent pas à mêler tradition musicale inspirée des années 90
et thématiques nouvelles, comme ici le féminisme, qui prend de
l'essor dans la scène comme dans la société. Les danois nous
rappellent, si besoin était, que le black metal est un genre aussi
abrasif que mélodique, et ce depuis ses débuts, marqués autant par
le punk que le heavy metal anglais.Voici un album qui m'a fasciné
par sa capacité à sortir du lot du très (trop) grand nombre de
sorties estampillées black metal d'abord par ses qualités musicales
intrinsèques. Si vous aimez les arts noirs et les mélodies
sorcières, ne cherchez pas plus loin, Lotan est là pour
vous...Allez, parole aux artistes, aussi peu loquaces que leur
musique est bonne, mais c'est une habitude avec les artistes
scandinaves en matière de black metal
Bonjour
Lotan, et bienvenue à Metallian ! Pouvez-vous vous présenter à nos
lecteurs ?
Bien
sûr ! Merci de nous recevoir ! Nous avons commencé en 2019/2020
lorsque la pandémie a frappé comme un exutoire créatif. Phillip
Kaaber et Martin Rubini ont écrit et enregistré les deux premiers
EP et peu après Jon, Lasse et Andy nous ont rejoints et nous avons
commencé à écrire les débuts. Le style étant du black metal avec
beaucoup d'influence du black'n roll.
Vous
jouez un black metal mélodique et agressif dans la grande tradition
nordique. Comment en êtes-vous venus à pratiquer ce style ?
Depuis
le début, notre mission a été de créer un black'n roll au son
plus agressif. A nos débuts, nous avons essayé de mélanger
différents éléments pour essayer de définir le son de Lotan. Mais
il est certain que le black metal agressif est au coeur du paysage
sonore de Lotan.
Ce
premier album ne doit pas cacher le fait que le groupe n'est pas
composé de débutants. L'expérience compte-t-elle lorsque l'on crée
un nouveau groupe ?
C'est sûr que ça aide d'avoir quelques compositeurs
expérimentés dans le groupe. Et sur cet album, nous avons, comme
mentionné précédemment, expérimenté un peu le genre pour lui
donner notre propre voix.
Vous
proposez des riffs très variés et accrocheurs, ce qui n'est pas le
cas de tous les groupes de black. Est-ce important pour vous ?
C'est
I'alpha et l'omega pour nous ! Nous voulons créer des chansons qui
se distinguent les unes des autres. Donc oui, c'est très important
dans la façon dont Lotan aborde le genre black metal.
Si
vous deviez nous parler des groupes qui vous ont influencés ?
Nos
principales influences doivent être Rotting Christ, Satyricon et
Marduk. Tous ces groupes ont façonné notre goût pour la musique,
c'est certain !
Pouvez-vous
nous parler des thèmes de l'album ? Vos idées spirituelles et
philosophiques ?
Le
thème de l'album est un mélange de chansons anti-religieuses, de
pro-féminisme avec une touche d'histoire sumérienne et une critique
de la postmodernité et de la société post-factuelle dans laquelle
nous vivons aujourd'hui. On pourrait donc dire que c'est du black
metal traditionnel avec une touche d'originalité !
Si
Lotan, qui symbolise le Léviathan, devait être un proverbe ou une
citation ?
Lotan
symbolise la divinité sumérienne qui a fini par devenir un
Léviathan dans la Bible. C'était l'origine du chaos par opposition
à l'ordre. L'ordre dans notre interprétation étant l'ordre
idéologique ou religieux forcé de la perception de la réalité. Un
sujet qui se répète dans notre univers lyrique et qui est le
fondement du satanisme et de la liberté existentielle. Donc, le
dragon à sept têtes Lotan correspond assez bien au thème de notre
groupe.
Un
dernier mot pour les lecteurs du Scribe et de Metallian ?
Amis
métalleux ! Allez écouter notre premier album ! Si vous l'aimez,
partagez le mot du dragon ! - Nihil Sacrum ! Rien n'est sacré
!
INTERVIEW VINDSVAL OCT 2019 "Je ne peux pas me contenter du hasard ou du non-sens, mon esprit refuse complètement cette idée dont beaucoup semblent aujourd'hui s’accommoder" (Vindsval) William Sheller chante qu'il veut être un homme heureux...je ne sais pas si c'est possible, mais en tout cas, pour moi, avoir le privilège de cette interview est une des choses qui se rapprochent le plus du bonheur. C'est la deuxième fois que le maestro se confie a moi, et cette fois encore plus longuement. C'est sans doute son interview la plus intime, la plus personnelle, et, selon ses mots, probablement la dernière qu'il donnera, l'homme préférant la solitude du créateur. Une dernière fois donc, et ceci nous a permis d'aborder l'enfance de Vindsval, son rapport a l'art, a l'esthétique, au showbiz, la philosophie, la poésie, la lumière, l'histoire...et le black metal, bien sûr. Bref, sans doute la meilleure interview que j'ai eu l'oppor
ATTENTION ! Groupe avec humour ! Quand j'ai décroché l'interview qui suit avec l'ami Albatard (le bassiste, vous savez, le mec qui accompagne les musiciens partout 😂 ) je n'avais qu'une inquiétude : qu'il déconne tellement qu'il ne réponde pas à mes questions. Alors, rassurez-vous, en ces jours gris, l'humour de l'ami est bien là, et ça fait vraiment du bien, mais il a eu la gentillesse de jouer vraiment le jeu de cette interview rétrospective où nous revenons en détail sur 20 ans de Gronibard ! Et puis ne vous inquiétez pas, on rendra aussi un bel hommage à Corbier...Et en plus il y a du scoop dans l'air, comme disent les journalisses, Gronibard attendraient un nouveau bébé !! Vous êtes devenus un des groupes les plus importants du grindcore en France, et les fondateurs d’un grind «rigolo » et potache, très axé sur les histoires de fesses. Pouvez-vous nous rappeler un peu les conditions de la naissance du groupe et pourquoi
Interview téléphonique, le 26 Novembre dernier... J'ai eu la chance d'avoir un entretien par téléphone avec Rose. Il s'est montré des plus courtois, prêt à répondre à toute question et particulièrement agréable. Finalement, Rose, c'est un peu notre David Bowie à nous, un peu notre Iggy Pop aussi. Au delà de son amour invétéré du Glam Rock et Metal, il y a le fait qu'il a eu de nombreux visages dans sa carrière, et que, tel le caméléon Bowie, il a incarné différents personnages. Un jour Nicolas Saint Morand, un autre RMS Hreidmarr ou Vinnie Valentine, il réalise ses fantasmes au gré de ses envies depuis plus de vingt ans. Un être énigmatique et fascinant, dont le mystère ne sera pas totalement dévoilé à la lecture de cette interview, mais peut être cela vous permettra t'il au moins de mieux le connaître, et de mieux appréhender ce parcours aventureux et riche... Allez, je laisse la parole à l'intéressé... Le Scribe du Rock
Nicolas Claux : Put The Fun In Funeral, une/an interview avec/with Le Scribe Du Rock "Peuple de France, le gouvernement te ment. Si j’ai appris une chose dans les morgues, c’est que ton espérance de vie se raccourcit à vue d’œil. Cancers, AVC, diabète, et désormais virus de plus en plus virulent, ton compte à rebours est déclenché. Achète un Bundyldo avant qu’il ne soit trop tard" (Nicolas Claux) S'il est vrai que Nicolas Claux (ou Castelaux comme nom de plume selon les cas) a commencé sa carrière à la rubrique faits divers (profanations de sépultures, cannibalisme, utilisation du sang comme "drink" et finalement meutre) il a commencé une deuxième vie après des années d'incarcération. Se découvrant une passion assez logique pour le metier d'agent mortuaire, qu'il a pratiqué de nombreuses années, il est aujourd'hui directeur de collection chez Camion Noir (le pendant "macabre" du Camion Blanc), mais aussi patron du site de murderabilia
Muddles, nouveau groupe français propose un metal progressif aux versants "djent" alliés à des passages extrêmes et une voix féminine qui nous ramène forcément aux excellents Jinjer, même si les français ont mis dans leur mix des influences plus rock que ces derniers. Un premier album réussi et superbement produit qui a donné envie à votre Scribe préféré d'en savoir plus ! Entretien avec Barbara, Mario, Fabien et Jérôme...Pierre Bonjour Muddles ! Merci de répondre à mes questions ! Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? (Jérôme) Nous sommes un quatuor plein d’envie et d'énergie, passionnés par les gros sons de guitare, les voix saturées, mais pas que... Vous pratiquez un metal progressif avec des moments «djent » et death metal...Sur le papier on ne peut que penser a Jinjer...Est ce un groupe que vous admirez ? (Jérôme) Oui c’est un groupe qu’on aime beaucoup et qui m’influence pas mal dans la composition. On est quand même loin de ce qu'ils font, mais sur l
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