MALLEPHYR RUINS OF INNER COMPOSURE 2024 EPICTURAL PRODUCTION BLACK/DEATH METAL C'est de République Tchèque que nous revient l'ouragan Mallephyr pour un troisième opus de black/death metal violent, noir et complexe. Un album qui va nous accompagner dans les prochains mois. Bigre ! Je l'avoue, je ne connaissais pas Mallephyr avant de recevoir cet album...Mais quelle tornade ! Un tourbillon de riffs dissonants subtilement mêlés à des coups de scalpels death metal, pour un rendu à la fois brutal, avec une atmosphère haineuse et noire et des titres longs et complexes, aux riffs originaux et acérés. Le chant versatile d'Opat - également guitariste - évoque tous les démons du sud du paradis et s morgue haineuse nous atteint immédiatement. Le grand intérêt de cet album réside dans la qualité des musiciens, réellement impressionnants, et le soin apporté aux ambiances, parfois glaciales, psychiatriques ou guerrières. On y entend autant la souffrance qu'un côté vindicatif,
Retour au présent, et voyage du côté du Chili pour une nouveauté signée par Maltkross pour cette édition tape tirée a 50 exemplaires, les Black Thrashers de Repugnatory et leur son sans âge !
Quand vous avez lu Repugnatory, peut-être avez-vous pensé à un infâme combo de Death Metal putride a la Autopsy ? Eh bien non, c'est raté pour cette fois. Repugnatory nous vient du Chili et pratique un Black/Thrash ultra Old School et comme sorti du formol de 1985. Bon, vous vous en doutez bien, rien de nouveau musicalement, mais une farouche détermination à nous convaincre que nous avons fait un mauvais rêve, que 2020 reste la date inscrite sur la couverture du livre de science fiction du livre que nous lisions avant de nous endormir et que nous sommes bien en 1985, le walkman a cassettes sur nos oreilles pour nous en convaincre. Nous avons eu chaud, un instant, en croyant que le monde dans lequel nous vivions était rempli d'un virus vicieux que l'on avait du mal à tuer, de revendications identitaires d'antiracistes noirs racistes envers les blancs et d'une guerre entre la Chine et les USA sur le point de démarrer. ON A EU CHAUD !
Repugnatory, la cassette que nous écoutons, est un beau condensé de Thrash maléfique des années 80 (on pense tour à tour à Sabbat (la version allemande) Sarcofago, Possessed, Venom ou le premier album de Bathory.
Alors, bien sûr, ça riffe a donf avec des palm mutes dignes du premier album de Slayer, la batterie est en mode d-beat/Speed Metal, et le chanteur a troqué le chant contre un hurlement de gargouille syphilitique dans la gorge de laquelle l'espagnol apparaît beaucoup plus menaçant et offensif qu'à l'accoutumée.
Dieu soit loué (enfin plutôt Satan) nous sommes bien en Juin 85 et je vous avoue que je ne souhaite pas spécialement vivre jusqu'en 2020 si le monde doit ressembler à ça !
Non, moi je reste en 85 avec ma cassette de Repugnatory bien vissée dans les esgourdes ! Non mais et puis quoi encore ? Si ça continue vous allez me faire croire que Metallica va devenir un groupe commercial ?!
Du riff, du tempo, de l'agressivité, Repugnatory, avec Artilleria Anticristiana, nous offre un voyage dans le temps et l'espace, et c'est le pied ! Lay down your souls to the gods Rock and Roll !
Back to the present, and travel to Chile for a novelty signed by Maltkross for this taped edition of 50 copies, the Black Thrashers of Repugnatory and their ageless sound!
When you read Repugnatory, maybe you thought of an infamous putrid Death Metal combo "a la Autopsy"? Well no, it's a bust this time. Repugnatory comes to us from Chile and practices an ultra Old School Black/Thrash and as if it came out of the 1985 formaldehyde. Well, as you can imagine, nothing new musically, but a fierce determination to convince us that we had a bad dream, that 2020 is still the date written on the cover of the science fiction book we were reading before going to sleep and that we are indeed in 1985, the walkman has tapes on our ears to convince us of that. For a moment we felt warm, for a moment, believing that the world we were living in was filled with a vicious virus that was hard to kill, with black anti-racist identity claims against whites and a war between China and the US about to start. IT WAS A CLOSE CALL.
Repugnatory, the tape we're listening to, is a nice digest of evil Thrash from the 80s (we think in turn of Sabbat (the German version) Sarcofago, Possessed, Venom or Bathory's first album.
So, of course, it riffs with palm mutes worthy of Slayer's first album, the drums are in d-beat/Speed Metal mode, and the singer has swapped the vocals for a syphilitic gargoyle scream in whose throat the Spanish appears much more threatening and offensive than usual.
Praise God (well, Satan), it's June 85 and I confess that I don't especially want to live until 2020 if the world is going to look like this!
No, I'm still in 85 with my Repugnatory tape well screwed in the gourdes! What the hell? If this goes on you're going to make me believe that Metallica will become a commercial band ?!
Riff, tempo, aggressivity, Repugnatory, with Artilleria Anticristiana, offers us a journey in time and space, and it's a blast ! Lay down your souls to the gods Rock and Roll !
Je livre ici un entretien que j'ai eu récemment avec Famine, de Peste Noire, depuis son nouveau bastion de Kiev, en Ukraine. Ainsi merci de prendre en compte le fait qu'il s'agit d'une interview exclusive, qui porte sur l'oeuvre que Famine nous donne à entendre et à voir depuis plus de quinze ans. HAILS ! UNITE ! Le Scribe du Rock INTERVIEW AVEC FAMINE DE KPN DEPUIS KIEV Salut Famine, et merci de bien vouloir répondre à mes questions. Peux-tu revenir pour nous sur les fondations de Peste Noire ? En 2000 vous vous formez en Avignon (ma ville ! NdA) sous le nom de Dor Daedeloth (en référence à Tolkien) et vous sortez la démo « Aryan Supremacy ». Peux-tu narrer la création de cette première formation et les objectifs qui étaient les vôtres ? Vos influences musicales et thématiques ? Le nom Dor Daedeloth a dû être adopté une semaine, la démo est sortie sous le nom Peste Noire, donc on peut considérer que Dor Daedeloth n’a jamais existé. Mes influe
INTERVIEW VINDSVAL OCT 2019 "Je ne peux pas me contenter du hasard ou du non-sens, mon esprit refuse complètement cette idée dont beaucoup semblent aujourd'hui s’accommoder" (Vindsval) William Sheller chante qu'il veut être un homme heureux...je ne sais pas si c'est possible, mais en tout cas, pour moi, avoir le privilège de cette interview est une des choses qui se rapprochent le plus du bonheur. C'est la deuxième fois que le maestro se confie a moi, et cette fois encore plus longuement. C'est sans doute son interview la plus intime, la plus personnelle, et, selon ses mots, probablement la dernière qu'il donnera, l'homme préférant la solitude du créateur. Une dernière fois donc, et ceci nous a permis d'aborder l'enfance de Vindsval, son rapport a l'art, a l'esthétique, au showbiz, la philosophie, la poésie, la lumière, l'histoire...et le black metal, bien sûr. Bref, sans doute la meilleure interview que j'ai eu l'oppor
Interview téléphonique, le 26 Novembre dernier... J'ai eu la chance d'avoir un entretien par téléphone avec Rose. Il s'est montré des plus courtois, prêt à répondre à toute question et particulièrement agréable. Finalement, Rose, c'est un peu notre David Bowie à nous, un peu notre Iggy Pop aussi. Au delà de son amour invétéré du Glam Rock et Metal, il y a le fait qu'il a eu de nombreux visages dans sa carrière, et que, tel le caméléon Bowie, il a incarné différents personnages. Un jour Nicolas Saint Morand, un autre RMS Hreidmarr ou Vinnie Valentine, il réalise ses fantasmes au gré de ses envies depuis plus de vingt ans. Un être énigmatique et fascinant, dont le mystère ne sera pas totalement dévoilé à la lecture de cette interview, mais peut être cela vous permettra t'il au moins de mieux le connaître, et de mieux appréhender ce parcours aventureux et riche... Allez, je laisse la parole à l'intéressé... Le Scribe du Rock
ATTENTION ! Groupe avec humour ! Quand j'ai décroché l'interview qui suit avec l'ami Albatard (le bassiste, vous savez, le mec qui accompagne les musiciens partout 😂 ) je n'avais qu'une inquiétude : qu'il déconne tellement qu'il ne réponde pas à mes questions. Alors, rassurez-vous, en ces jours gris, l'humour de l'ami est bien là, et ça fait vraiment du bien, mais il a eu la gentillesse de jouer vraiment le jeu de cette interview rétrospective où nous revenons en détail sur 20 ans de Gronibard ! Et puis ne vous inquiétez pas, on rendra aussi un bel hommage à Corbier...Et en plus il y a du scoop dans l'air, comme disent les journalisses, Gronibard attendraient un nouveau bébé !! Vous êtes devenus un des groupes les plus importants du grindcore en France, et les fondateurs d’un grind «rigolo » et potache, très axé sur les histoires de fesses. Pouvez-vous nous rappeler un peu les conditions de la naissance du groupe et pourquoi
Nicolas Claux : Put The Fun In Funeral, une/an interview avec/with Le Scribe Du Rock "Peuple de France, le gouvernement te ment. Si j’ai appris une chose dans les morgues, c’est que ton espérance de vie se raccourcit à vue d’œil. Cancers, AVC, diabète, et désormais virus de plus en plus virulent, ton compte à rebours est déclenché. Achète un Bundyldo avant qu’il ne soit trop tard" (Nicolas Claux) S'il est vrai que Nicolas Claux (ou Castelaux comme nom de plume selon les cas) a commencé sa carrière à la rubrique faits divers (profanations de sépultures, cannibalisme, utilisation du sang comme "drink" et finalement meutre) il a commencé une deuxième vie après des années d'incarcération. Se découvrant une passion assez logique pour le metier d'agent mortuaire, qu'il a pratiqué de nombreuses années, il est aujourd'hui directeur de collection chez Camion Noir (le pendant "macabre" du Camion Blanc), mais aussi patron du site de murderabilia
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