MALLEPHYR RUINS OF INNER COMPOSURE 2024 EPICTURAL PRODUCTION BLACK/DEATH METAL C'est de République Tchèque que nous revient l'ouragan Mallephyr pour un troisième opus de black/death metal violent, noir et complexe. Un album qui va nous accompagner dans les prochains mois. Bigre ! Je l'avoue, je ne connaissais pas Mallephyr avant de recevoir cet album...Mais quelle tornade ! Un tourbillon de riffs dissonants subtilement mêlés à des coups de scalpels death metal, pour un rendu à la fois brutal, avec une atmosphère haineuse et noire et des titres longs et complexes, aux riffs originaux et acérés. Le chant versatile d'Opat - également guitariste - évoque tous les démons du sud du paradis et s morgue haineuse nous atteint immédiatement. Le grand intérêt de cet album réside dans la qualité des musiciens, réellement impressionnants, et le soin apporté aux ambiances, parfois glaciales, psychiatriques ou guerrières. On y entend autant la souffrance qu'un côté vindicatif,
LES CROCS DU SCRIBE SPECIAL THE RITUAL PRODUCTIONS VOLUME VII - French + English - Garigha/Wehrwolf/Circle Of Chaos - UG Black Metal/DSBM/Thrash Metal/Death Metal
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Déjà le septième volet de mes Crocs Du Scribe entièrement consacrées à The Ritual Productions ! Un bonheur rare car Jasper, boss du label néerlandais, a décidé cette année de passer la surmultipliée puisque ce ne sont pas moins de cinq productions nouvelles qui sont parvenues jusque nos chastes oreilles en quelques mois, chose assez rare pour être soulignée, le label privilégiant nettement la qualité sur la quantité. Nous retrouvons cette fois le one man band de black metal dépressif polonais, originaire de Katowice, Garigha, pour un premier album de toute beauté, suivi des très germanophiles Wehrwolf (encore un one man) venus pourtant de la lointaine amérique qui nous proposent eux aussi leur premier album dans un registre black/thrash bien old school. Enfin, pour finir en beauté ces Crocs du Scribe nous quitterons les rivages du metal noir pour ceux pas forcément plus accueillants du metal de la mort bien UG mais mélodique des suédois de Circle Of Chaos pour leur troisième album...Bienvenue dans ces Crocs Du Scribe a ceux qui aiment le vrai metal, les autres peuvent toujours retourner faire mumuse avec leurs groupes hype à la con...Pierre
Already the seventh part of my Crocs Du Scribe entirely dedicated to The Ritual Productions! A rare happiness because Jasper, boss of the Dutch label, decided this year to go into overdrive since no less than five new productions have reached our chaste ears in a few months, a rare thing to be underlined, the label clearly privileging quality over quantity. This time we find the Polish depressive black metal one-man band from Katowice, Garigha, for a beautiful first album, followed by the very Germanophile Wehrwolf (another one-man band) from far away America who also offer us their first album in a very old school black/thrash register. Finally, to finish in beauty these Crocs du Scribe we will leave the shores of black metal for those not necessarily more welcoming of the metal of death well UG but melodic of the Swedes of Circle Of Chaos for their third album... Welcome in these Crocs Du Scribe to those who like the true metal, the others can always return to make merry with their bands hype in the bullshit...Pierre
Bon, je ne peux pas dire que j'apprécie toutes les sorties DSBM, surtout depuis cinq ou six ans avec ces émos qui se complaisent dans une fausse attitude mercantile pour faire mouiller les culottes des gamines. Garigha, cela va de soi, n'est absolument pas de cette vilaine fange. Déjà parce que le projet polonais drivé par M, déjà sévissant au sein du groupe de funeral/black metal Lifeless Gaze et ancien du combo de BM à la polonaise Useless connait bien la musique, et inscrit d'abord son univers dans un black metal réel et profond. Ici tout n'est que douleur et désespoir palpable, noirceur irréelle, à l'instar des premiers Burzum ou Shining... The Infinity Of Trees et sa beauté surnaturelle pourrait bien vous faire chavirer...
Beauté oui, car les guitares de M, parfois en mode phrasé cold wave, sont d'une beauté rare, et que les riffs apparemment simples et obsédants de ces neuf titres viennent vous manger le cerveau pour ne plus le lâcher...Garigha perpetue l'idée d'un black metal qui se fout des étiquettes mais qui exprime davantage de mélancolie et de tristesse profondes qu'un esprit belliqueux mais gare ! car la colère n'est jamais loin, comme la lave d'un volcan en apparence assoupi...Ici les mid-tempos sont logiquement privilégiés, même si les accélérations ne sont pas rares, et la voix rauque du polonais nous semble sortie de la bouche d'un être surnaturel davantage que de celle d'un gros porc geek gavé de Xanax. Cette même voix rauque frôle parfois le chant clair, et rappelle certaines tournures vocales du grand Abbath, dans un registre musical différent. Bref, les plus malins d'entre vous l'auront compris tous seuls, Garigha s'adresse d'abord au vrai amateur de black metal, et pas à l'ado boutonneux qui vient de découvrir le genre entre deux albums de Slipknot. N'y voyez toutefois aucune moquerie de ma part, nous avons tous été plus ou moins des ados boutonneux (moi oui en tout cas) et il est évident que les jeunes gens qui souhaitent se perdre dans les méandres du chagrin manifeste de Garigha sont les bienvenus, même s'ils sont prévenus...
Garigha, avec The Infinity Of Trees signe un album de black metal dépressif comme on en attendait plus, le genre ayant cramé ses cartouches en voulant absolument s'éloigner de son grand frère BM pour toucher un plus large public (et surtout plus de fric). Bravo donc à M pour ce disque qui vient remettre les pendules à l'heure !
Well, I can't say that I appreciate all DSBM releases, especially in the last five or six years with these emos who indulge in a false mercantile attitude to get kids' panties wet. Garigha, it goes without saying, is absolutely not part of this vile mire. First of all, because the Polish project led by M, already active in the funeral/black metal band Lifeless Gaze and former member of the Polish BM combo Useless, knows the music well, and inscribes its universe in a real and deep black metal. Here everything is palpable pain and despair, unreal darkness, like the first Burzum or Shining... The Infinity Of Trees and its supernatural beauty could well make you capsize...
Beauty yes, because M's guitars, sometimes in cold wave phrasing mode, are of a rare beauty, and the apparently simple and haunting riffs of these nine tracks come to eat your brain and never let it go... Garigha perpetuates the idea of a black metal that doesn't care about labels but expresses more melancholy and deep sadness than a bellicose spirit, but beware! because anger is never far away, like the lava of a seemingly dormant volcano... Here, mid-tempos are logically privileged, even if accelerations are not rare, and the hoarse voice of the Pole seems to come out of the mouth of a supernatural being rather than that of a fat geeky pig force-fed Xanax. This same hoarse voice sometimes verges on clear vocals, and reminds us of certain vocal turns of the great Abbath, in a different musical register. In short, the smartest among you will have understood it all by themselves, Garigha is primarily aimed at the real black metal fan, and not at the pimply teenager who has just discovered the genre between two Slipknot albums. But don't let me make fun of you, we've all been more or less pimply teenagers (I have, anyway) and it's obvious that young people who want to get lost in the meanders of Garigha's obvious sorrow are welcome, even if they are warned...
Garigha, with The Infinity Of Trees, signs a depressive black metal album as we expected more, the genre having burnt its cartridges by wanting absolutely to move away from its big brother BM to reach a wider audience (and especially more money). So, congratulations to M for this record that sets the record straight!
C'est du côté trés obscur de la force underground que nous allons retrouver le one-man band américain Wehrwolf. Musicalement, autant vous prévenir tout de suite, le projet vise du côté thrash extrême en ce qui concerne les guitares, grasses comme de la couenne de porc surnourri et du côté black metal bien noir et violent pour la batterie hyperspeed et du chant lugubre d'Eihwaz, digne du Quorthon des débuts de Bathory. L'album ici présent propose huit titres en cinquante sept minutes de tirs d'artillerie venus tout droit de l'enfer !
Copyright Metal Archives
Les américains aiment bien, en tout cas dans l'underground, proposer des choses assez jusqu'auboutistes, qui n'ont pas d'ambition commerciales particulières mais qui déchirent tout sur leur passage. Imaginez la rencontre de Slayer, Bathory et d'une bande de sauvages war metal à la Blasphemy ou Beherit et vous aurez un ordre d'idée de ce que propose Wehrwolf, un black/thrash extrême et violent.
Bon, sincèrement, si vous votez pour un certain JLM il se peut que vous n'appréciez pas plus que cela le propos à l'acide sulfurique du groupe (moi perso je m'en tamponne) mais si comme moi vous vous cramponnez à la musique et rien qu'à la musique, vous trouverez une grande satisfaction à déguster ce glaviot férocement old-school dans le fond comme dans la forme. Si vous pensez que le black metal n'a pas vocation à être mignon mais au contraire à tout ravager sur son passage, jetez vous sur cet album qui peut séduire aussi bien le fan du thrash des débuts (j'ai dit Slayer mais n'oublions pas Sodom, Kreator, Exodus ou Dark Angel) que le black le plus intransigeant...
Avec Ad Aeternum Wehrwolf fait son entrée dans la cour des grands du black/thrash le plus jouissif. Si vous aimez le metal old school et les riffs qui tuent, foncez !
It's on the very dark side of the underground force that we'll find the American one-man band Wehrwolf. Musically, I might as well warn you right away, the project aims at the extreme thrash side as far as the guitars are concerned, as fat as overfed pork rinds, and at the black and violent side for the hyperspeed drums and Eihwaz's gloomy vocals, worthy of Quorthon in the early days of Bathory. The album here offers eight tracks in fifty seven minutes of artillery fire straight from hell!
The Americans like, at least in the underground, to propose things that are quite up to date, that have no particular commercial ambitions but that tear up everything in their path. Imagine the meeting of Slayer, Bathory and a bunch of war metal savages like Blasphemy or Beherit and you'll have an idea of what Wehrwolf offers, an extreme and violent black/thrash.
Well, sincerely, if you vote for a certain JLM, you may not appreciate more than that the band's sulphuric acid content (I personally don't care) but if, like me, you cling to the music and nothing but the music, you will find a great satisfaction in tasting this ferociously old-school slime in the content as in the form. If you think that black metal is not meant to be cute but on the contrary to ravage everything in its path, throw yourself on this album which can seduce as well the fan of the thrash of the beginnings (I said Slayer but let's not forget Sodom, Kreator, Exodus or Dark Angel) as the most uncompromising black...
With Ad Aeternum Wehrwolf enters the big league of the most enjoyable black/thrash. If you like old school metal and killer riffs, go for it!
D'emblée il y a cette pochette ! Superbe ! Si Circle Of Chaos, groupe suédois sévissant depuis 2008 dans ce que l'on a coutume d'appeler le mélodeath, c'est bien plus dans l'esprit des pionniers At The Gates ou Edge Of Sanity qu'il faut chercher des traces, voire même du côté d'Entombed ou de Carcass et tout le death de Göteborg du début des 90's où les groupes, sous influence américaine (Morbid Angel en tête mais aussi Deicide) savaient combiner mélodies guitaristiques et un son bien sale et morbide plutôt que des "déviances" nu metal de Soilwork ou In Flames...
Avec ce troisième lp Forlorn Reign, Circle Of Chaos nous renvoie aux nobles racines du genre, avec des soli dignes d'Yngwie Malmsteen, une voix de zombie déterré et réenterré plusieurs fois, des riffs mémorables mais jamais nunuches et surtout une volonté manifeste de faire davantage parler la poudre death old school que le côté "accessible" (pour ne pas dire putassier) de certains groupes de soi-disant death metal qui font de la merde commerciale. Ici, tout est au service de la musique, des titres bien composés, une puissance de feu, des musiciens aguerris, des changements de tempo bien pensés qui vous amènent du thrash beat à des blasts supersoniques sans trigger. Bref, COC fait dans l'authentique et la transpiration, avec en prime un son parfait, équilibré, mettant bien en valeur les divers instruments sans jamais tomber dans le côté hollywoodien des infrabasses et des suraigus bien plus conçus pour la pop électronique que le metal. Si vous aimez le metal extrême épique, mélodique et puissant, sale et conquérant, jetez vous sur ce grand disque, qui vous mettra une bonne claque derrière les oreilles (et dedans aussi)...
copyright metal archives
Avec Forlorn Reign Circle Of Chaos vient nous faire un rappel de vaccin en mode Göteborg 90's, oui, il est possible de faire du death metal puissant, véloce, sale, tout en valorisant des mélodies...A bon entendeur...
Right away there is this cover! Superb! If Circle Of Chaos, a Swedish band operating since 2008 in what we usually call melodeath, it is more in the spirit of the pioneers At The Gates or Edge Of Sanity that we should look for traces, or even Entombed or Carcass and all the Göteborg death metal of the early 90's where the bands, under American influence (Morbid Angel in the lead but also Deicide) knew how to combine guitar melodies and a dirty and morbid sound rather than the nu metal "deviances" of Soilwork or In Flames. ..
With this third album, Forlorn Reign, Circle Of Chaos takes us back to the noble roots of the genre, with solos worthy of Yngwie Malmsteen, a zombie voice dug up and reburied several times, memorable riffs that are never dull and, above all, a clear will to use old school death metal powder rather than the "accessible" (not to say putassive) side of some so-called death metal bands that make commercial crap. Here, everything is at the service of the music, well composed tracks, firepower, seasoned musicians, well thought out tempo changes that take you from thrash beats to supersonic blasts without trigger. In short, COC is all about authenticity and sweat, with the added bonus of a perfect, balanced sound, highlighting the various instruments without ever falling into the Hollywood side of infrabasses and highs that are much more suited to electronic pop than metal. If you like epic, melodic and powerful, dirty and conquering extreme metal, throw yourself on this great record, which will give you a good slap behind the ears (and inside too)...
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With Forlorn Reign Circle Of Chaos comes to remind us that it is possible to make powerful, fast, dirty death metal, while valuing melodies...
Je livre ici un entretien que j'ai eu récemment avec Famine, de Peste Noire, depuis son nouveau bastion de Kiev, en Ukraine. Ainsi merci de prendre en compte le fait qu'il s'agit d'une interview exclusive, qui porte sur l'oeuvre que Famine nous donne à entendre et à voir depuis plus de quinze ans. HAILS ! UNITE ! Le Scribe du Rock INTERVIEW AVEC FAMINE DE KPN DEPUIS KIEV Salut Famine, et merci de bien vouloir répondre à mes questions. Peux-tu revenir pour nous sur les fondations de Peste Noire ? En 2000 vous vous formez en Avignon (ma ville ! NdA) sous le nom de Dor Daedeloth (en référence à Tolkien) et vous sortez la démo « Aryan Supremacy ». Peux-tu narrer la création de cette première formation et les objectifs qui étaient les vôtres ? Vos influences musicales et thématiques ? Le nom Dor Daedeloth a dû être adopté une semaine, la démo est sortie sous le nom Peste Noire, donc on peut considérer que Dor Daedeloth n’a jamais existé. Mes influe
INTERVIEW VINDSVAL OCT 2019 "Je ne peux pas me contenter du hasard ou du non-sens, mon esprit refuse complètement cette idée dont beaucoup semblent aujourd'hui s’accommoder" (Vindsval) William Sheller chante qu'il veut être un homme heureux...je ne sais pas si c'est possible, mais en tout cas, pour moi, avoir le privilège de cette interview est une des choses qui se rapprochent le plus du bonheur. C'est la deuxième fois que le maestro se confie a moi, et cette fois encore plus longuement. C'est sans doute son interview la plus intime, la plus personnelle, et, selon ses mots, probablement la dernière qu'il donnera, l'homme préférant la solitude du créateur. Une dernière fois donc, et ceci nous a permis d'aborder l'enfance de Vindsval, son rapport a l'art, a l'esthétique, au showbiz, la philosophie, la poésie, la lumière, l'histoire...et le black metal, bien sûr. Bref, sans doute la meilleure interview que j'ai eu l'oppor
Interview téléphonique, le 26 Novembre dernier... J'ai eu la chance d'avoir un entretien par téléphone avec Rose. Il s'est montré des plus courtois, prêt à répondre à toute question et particulièrement agréable. Finalement, Rose, c'est un peu notre David Bowie à nous, un peu notre Iggy Pop aussi. Au delà de son amour invétéré du Glam Rock et Metal, il y a le fait qu'il a eu de nombreux visages dans sa carrière, et que, tel le caméléon Bowie, il a incarné différents personnages. Un jour Nicolas Saint Morand, un autre RMS Hreidmarr ou Vinnie Valentine, il réalise ses fantasmes au gré de ses envies depuis plus de vingt ans. Un être énigmatique et fascinant, dont le mystère ne sera pas totalement dévoilé à la lecture de cette interview, mais peut être cela vous permettra t'il au moins de mieux le connaître, et de mieux appréhender ce parcours aventureux et riche... Allez, je laisse la parole à l'intéressé... Le Scribe du Rock
ATTENTION ! Groupe avec humour ! Quand j'ai décroché l'interview qui suit avec l'ami Albatard (le bassiste, vous savez, le mec qui accompagne les musiciens partout 😂 ) je n'avais qu'une inquiétude : qu'il déconne tellement qu'il ne réponde pas à mes questions. Alors, rassurez-vous, en ces jours gris, l'humour de l'ami est bien là, et ça fait vraiment du bien, mais il a eu la gentillesse de jouer vraiment le jeu de cette interview rétrospective où nous revenons en détail sur 20 ans de Gronibard ! Et puis ne vous inquiétez pas, on rendra aussi un bel hommage à Corbier...Et en plus il y a du scoop dans l'air, comme disent les journalisses, Gronibard attendraient un nouveau bébé !! Vous êtes devenus un des groupes les plus importants du grindcore en France, et les fondateurs d’un grind «rigolo » et potache, très axé sur les histoires de fesses. Pouvez-vous nous rappeler un peu les conditions de la naissance du groupe et pourquoi
Nicolas Claux : Put The Fun In Funeral, une/an interview avec/with Le Scribe Du Rock "Peuple de France, le gouvernement te ment. Si j’ai appris une chose dans les morgues, c’est que ton espérance de vie se raccourcit à vue d’œil. Cancers, AVC, diabète, et désormais virus de plus en plus virulent, ton compte à rebours est déclenché. Achète un Bundyldo avant qu’il ne soit trop tard" (Nicolas Claux) S'il est vrai que Nicolas Claux (ou Castelaux comme nom de plume selon les cas) a commencé sa carrière à la rubrique faits divers (profanations de sépultures, cannibalisme, utilisation du sang comme "drink" et finalement meutre) il a commencé une deuxième vie après des années d'incarcération. Se découvrant une passion assez logique pour le metier d'agent mortuaire, qu'il a pratiqué de nombreuses années, il est aujourd'hui directeur de collection chez Camion Noir (le pendant "macabre" du Camion Blanc), mais aussi patron du site de murderabilia
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