CURSED COVEN ...IN TENEBRIS ET SUMBRA SEVENTIBUS... 2024 THE RITUAL PRODUCTIONS RELIGIOUS POLISH DOOM METAL Si vous êtes comme moi, qu'un petit Lee Dorrian habite au fond de votre âme assombrie et que vous êtes capables de passer en un éclair du grindcore au doom metal le plus lent et le plus pesant, du black metal sauvage aux ritournelles monotones et macabres, bienvenue ! Les polonais de Cursed Coven s'évadent de leur couvent maudit pour nous livrer une oeuvre profondément solennelle, sombre au possible, au sein de laquelle la voix presque cold wave de Pontifex Idolorum XXXV I, déjà batteur du combo, vient nous déclamer quelque formule magique ou incantation occulte. Voyez vous, les polonais de Cursed Coven teintent depuis leurs débuts leur doom metal d'une couleur presque black metal, du moins dans l'atmosphère, noirâtre. Si vous recherchez un metal où l'ambiance est reine, portée par une production très old school qui vient renforcer la suie de l'ensemb
INDEPENDANT, FOU ET SANS LIMITES : INTERVIEW DE JEAN-LOUIS COSTES
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PUTAIN DE BORDEL DE MERDE
VIVE JEAN LOUIS COSTES !!!
Bonjour jean louis. Tu es aujourd'hui un performeur, musicien, écrivain, réalisateur
et dessinateur reconnu du milieu artistique français. Peux tu nous parler de
tes débuts dans les années 80, quand tu as lâché ton métier d'architecte pour
celui de musicien « fou » ?
Quand
je travaillais encore dans des agences d’architecture, la musique était juste
un hobby. Un peu par hazard, j’ai eu de plus en plus de dates pour mes
spectacle et donc suis allé de moins en moins souvent au travail. Et finalement
je me suis retrouvé a faire que de la musique.
Quelles ont été tes principales influences ?
Tout
m’influence. tous les types de musique, et aussi la litterature ou les films ont
pu influencer ma musique et mes textes. Ce sont des ambiances, des feelings
plus que des styles qui m’influencent.j’ai ainsi été influencé par le free
jazz, le punk, la techno, le rap hard-core américain, l’électro, et aussi les
musiques africaines et asiatiques entendues lors de mes voyages.
Entre les disques, les films, les livres, tu as déjà lâché une œuvre considérable
et importante, aussi bien en quantité qu'en qualité. Quel serait ton conseil
pour guider un jeune dans ton œuvre ? Y'a t'il des incontournables ?
Parmi
les romans, je conseillerais pour commencer « Guerriers amoureux » car
il synthétise un peu tous mes autres romans. Pour les films « I love snuff ».
Pour les albums de chansons c’est plus compliqué car il y en a plus d’une
centaine !
As tu ressenti l'influence du mouvement punk ? Sioui comment ? Qu'en as tu gardé ?
On
me dit souvent « punk » mais je n’ai jamais été punk ni membre d’aucun
autre mouvement. j’ai toujours été solitaire, asocial et hors des modes - mais
j’ai été influencé par le son punk, le coté direct, ramassé, percutant, sans
fioritures.
Ton œuvre a souvent été mal comprise, voire pas du tout, t'offrant à l'occasion
des démêlés avec la justice. Regrettes tu quelque chose ?
Je
regrette de ne pas avoir été une star de variété. De ne pas avoir su produire
des albums impeccables au niveau son qui auraient pu rivaliser avec les grosses
productions mais avec mon feeling intact.
La mise en scène de ton corps poussée à l'extrême a pu choquer. Quelle est pour
toi l'utilité artistique de la provocation ?
Je
ne fais pas de provocation; Je suis seul chez moi, je cherche des idées pour des
chansons ou des spectacles, et fait ce qui me plait, ce qui me touche, et me
parait correct. Apres certaines choses « choquent » certaines personnes.
mais enfin, dans un monde aussi brutal et cruel que e notre je crois pas qu’un
chansonnette puisse traumatiser. Les soi-disant « choqués » sont des
emmerdeurs moralistes et des censeurs.
Peux tu nous parler de ton dernier roman, "la dernière croisade" et de tes
disques les plus récents L'aznavore de l'underground et Robot Bonobo ?
« La
dernière croisade » parle d’un mec qui a perdu sa fille dans un attentat
et veut la venger. Et finalement il se retrouve pris dans un engrenage de
violences bien pires que ce qu’il avait en tête au depart, et ne contrôle plus
rien du tout.
Tu as aujourd'hui 64 ans. Quel regard rétrospectif portes tu sur ton travail ?
Quelles sont les prochaines étapes ?
Quand
j’écoute des vieux trucs de moi que j’avais oublié je suis surpris par l’extreme
inventivité de mes premières musiques et textes. Mais je ne peux pas avoir un
regard extérieur sur moi-même. C’est a d’autres que moi de dire ce que mon
oeuvre apporte ou pas.
Ma
prochaine étape : je suis en train de finir un nouveau roman qui sortira en
octobre2019 et sera bien distribué par
une bonne maison d’édition.
Les artistes et performers que tu admires le plus ?
Euh…
je ne sors jamais, suis totalement enfermé en moi-même. Ce qui m’influence le
plus c’est juste les embrouilles de ma vie privée et les horreurs dans les médias. Ça m’influence mille fois plus que des « artistes » que je trouve
pour la plupart insipides et putes.
Au fond, l'art ne sert à rien, est-ce son utilité ?
L’art
a certainement une utilité. quand j’étais adolescent, des veuves fortes m’ont
aidé a vivre et causé de belle émotions inoubliables. Maintenant c’est sûr que que
ce n’est pas indispensable comme la bouffe, l’air et l’eau !
Qui est le vrai jean-louis Costes ?
Glups
???? en tout cas pas dans ma vie quotidienne le forcené de mes oeuvres. Je
fabrique des trucs « fous » un peu comme un fonctionnaire ! Je me lève
tôt, bosse toute la journée, et recommence le lendemain, … jusqu’a la mort
En guise de conclusion provisoire ?
Il
faut que j’arrête cette interview car je dois aller nourrir les poules !
Je livre ici un entretien que j'ai eu récemment avec Famine, de Peste Noire, depuis son nouveau bastion de Kiev, en Ukraine. Ainsi merci de prendre en compte le fait qu'il s'agit d'une interview exclusive, qui porte sur l'oeuvre que Famine nous donne à entendre et à voir depuis plus de quinze ans. HAILS ! UNITE ! Le Scribe du Rock INTERVIEW AVEC FAMINE DE KPN DEPUIS KIEV Salut Famine, et merci de bien vouloir répondre à mes questions. Peux-tu revenir pour nous sur les fondations de Peste Noire ? En 2000 vous vous formez en Avignon (ma ville ! NdA) sous le nom de Dor Daedeloth (en référence à Tolkien) et vous sortez la démo « Aryan Supremacy ». Peux-tu narrer la création de cette première formation et les objectifs qui étaient les vôtres ? Vos influences musicales et thématiques ? Le nom Dor Daedeloth a dû être adopté une semaine, la démo est sortie sous le nom Peste Noire, donc on peut considérer que Dor Daedeloth n’a jamais existé. Mes influe
INTERVIEW VINDSVAL OCT 2019 "Je ne peux pas me contenter du hasard ou du non-sens, mon esprit refuse complètement cette idée dont beaucoup semblent aujourd'hui s’accommoder" (Vindsval) William Sheller chante qu'il veut être un homme heureux...je ne sais pas si c'est possible, mais en tout cas, pour moi, avoir le privilège de cette interview est une des choses qui se rapprochent le plus du bonheur. C'est la deuxième fois que le maestro se confie a moi, et cette fois encore plus longuement. C'est sans doute son interview la plus intime, la plus personnelle, et, selon ses mots, probablement la dernière qu'il donnera, l'homme préférant la solitude du créateur. Une dernière fois donc, et ceci nous a permis d'aborder l'enfance de Vindsval, son rapport a l'art, a l'esthétique, au showbiz, la philosophie, la poésie, la lumière, l'histoire...et le black metal, bien sûr. Bref, sans doute la meilleure interview que j'ai eu l'oppor
Interview téléphonique, le 26 Novembre dernier... J'ai eu la chance d'avoir un entretien par téléphone avec Rose. Il s'est montré des plus courtois, prêt à répondre à toute question et particulièrement agréable. Finalement, Rose, c'est un peu notre David Bowie à nous, un peu notre Iggy Pop aussi. Au delà de son amour invétéré du Glam Rock et Metal, il y a le fait qu'il a eu de nombreux visages dans sa carrière, et que, tel le caméléon Bowie, il a incarné différents personnages. Un jour Nicolas Saint Morand, un autre RMS Hreidmarr ou Vinnie Valentine, il réalise ses fantasmes au gré de ses envies depuis plus de vingt ans. Un être énigmatique et fascinant, dont le mystère ne sera pas totalement dévoilé à la lecture de cette interview, mais peut être cela vous permettra t'il au moins de mieux le connaître, et de mieux appréhender ce parcours aventureux et riche... Allez, je laisse la parole à l'intéressé... Le Scribe du Rock
ATTENTION ! Groupe avec humour ! Quand j'ai décroché l'interview qui suit avec l'ami Albatard (le bassiste, vous savez, le mec qui accompagne les musiciens partout 😂 ) je n'avais qu'une inquiétude : qu'il déconne tellement qu'il ne réponde pas à mes questions. Alors, rassurez-vous, en ces jours gris, l'humour de l'ami est bien là, et ça fait vraiment du bien, mais il a eu la gentillesse de jouer vraiment le jeu de cette interview rétrospective où nous revenons en détail sur 20 ans de Gronibard ! Et puis ne vous inquiétez pas, on rendra aussi un bel hommage à Corbier...Et en plus il y a du scoop dans l'air, comme disent les journalisses, Gronibard attendraient un nouveau bébé !! Vous êtes devenus un des groupes les plus importants du grindcore en France, et les fondateurs d’un grind «rigolo » et potache, très axé sur les histoires de fesses. Pouvez-vous nous rappeler un peu les conditions de la naissance du groupe et pourquoi
Nicolas Claux : Put The Fun In Funeral, une/an interview avec/with Le Scribe Du Rock "Peuple de France, le gouvernement te ment. Si j’ai appris une chose dans les morgues, c’est que ton espérance de vie se raccourcit à vue d’œil. Cancers, AVC, diabète, et désormais virus de plus en plus virulent, ton compte à rebours est déclenché. Achète un Bundyldo avant qu’il ne soit trop tard" (Nicolas Claux) S'il est vrai que Nicolas Claux (ou Castelaux comme nom de plume selon les cas) a commencé sa carrière à la rubrique faits divers (profanations de sépultures, cannibalisme, utilisation du sang comme "drink" et finalement meutre) il a commencé une deuxième vie après des années d'incarcération. Se découvrant une passion assez logique pour le metier d'agent mortuaire, qu'il a pratiqué de nombreuses années, il est aujourd'hui directeur de collection chez Camion Noir (le pendant "macabre" du Camion Blanc), mais aussi patron du site de murderabilia